Ce n’est pas toujours pas évident de s’entendre avec votre ex sur la manière de garder vos enfants. Mais il est essentiel de mettre de côté vos conflits afin de mieux vous concentrer sur leurs besoins. Il y a différents types de garde, mais il n'y a que 3 qui sont les plus recommandées.
Tout savoir sur la garde alternée
Un des meilleurs choix possibles est la garde alternée. Les deux époux peuvent bénéficier de la résidence de l'enfant. Pour organiser cette résidence alternée, ils devront convenir un partage bien équitable concernant le lieu d’habitation des petits. Mais elle ne va pas impliquer nécessairement que les deux époux ont un avantage d'un temps d'habitation égal et de manière parfaite. Comme exemple, un des époux pourra avoir la résidence du petit durant 8 jours et le second durant 6 jours. Il est convenable de noter que durant la mise en place de la mode de garde pour enfant en divorce alternée, les deux parents devront partager la part fiscale et sociale de l'enfant entre eux. Dans cette condition, ils pourront convenir d’un accord en les attribuant à un des époux ou en les partageants entre eux.
Garde principale par l'un des parents
Les deux conjoints peuvent aussi fixer une résidence principale chez l'un d'eux. Ce type de mode de garde pour enfant en divorce sera alors attribué à une seule personne, le second parent obtiendra un droit de visite et aussi un hébergement. Dans ce cas, il est essentiel de bien fixer les modalités d'exercice concernant le droit de visite ainsi que l'hébergement pour ce second parent. Effectivement, par la suite, quand les deux parents sont d'accord, ils ont le droit de déroger face à ces modalités. Si un désaccord se présente entre les deux, les modalités qui ont été fixées par la convention s'appliqueront.
Comment se passe un simple droit de visite ?
Un autre mode de mode de garde pour enfant en divorce à choisir est la mise en place du droit de visite. En général, ce type-là est organisé quand le parent ne pourra pas accueillir son enfant chez lui (par exemple un parent habitant dans un studio) ou après un antécédent de violence. Dans ce genre de situation, le parent qui n'a pas sa résidence principale peut seulement rendre visite à l'enfant pendant la journée, soit au domicile de l'autre conjoint, soit dans un endroit défini. De ce fait, il ne pourra pas héberger cet enfant chez lui. Si l'organisation du simple droit de visite se fait suite à quelques antécédents de violence, c'est possible de réaliser le droit de visite en présence d'une tierce personne.